Top Ten tuesday n°3 : Les 10 thèmes ou mots du titre qui ne vous font surtout pas acheter le livre

Le Top Ten Tuesday est un rendez-vous hebdomadaire dans lequel on liste notre top 10 selon le thème littéraire défini.

Ce rendez-vous a initialement été créé par The Broke and the Bookish et repris en français sur le blog de Iani.

Le thème cette semaine est : 

Les 10 thèmes ou mots du titre qui ne vous font surtout pas acheter le livre

 Voilà un thème un peu plus facile (au premier abord bien sûr), il faut quand même arriver à 10.

Je ne pense pas que les mots d’un titre m’empêchent d’acheter un livre, car même si quelques mots pourraient m’énerver, ils peuvent toujours être accompagnés d’autres qui rendent le titre humoristique. Un exemple : Comment trouver l’homme idéal ? « Argh osecourrrrrrrrrrrrr je fuis ». Comment trouver l’homme idéal parmi les zombies. « Oh, mais ça à l’air marrant ça ».

Je vais donc plutôt me concentrer sur les thèmes qui me font fuir.

  • La maladie : la vie de tous les jours suffit, je n’ai pas envie qu’un livre rajoute son poids d’angoisse.
  • La romance pure et dure : parce que je m’ennuie.
  • Le développement personnel : cf. ci-dessous.
  • Les leçons de moral : genre il faut vivre sa vie comme ça.
  • La religion
  • Apologie d’un mouvement réactionnaire ou raciste ou xénophobe ou homophobe : faut-il vraiment expliquer pourquoi?

 Après réflexion, j’ai bien trouver un cas, où les mots du titre pourraient être rédhibitoires :

  • Faute d’orthographe concernant l’un des mots du titre : je suis nulle en orthographe, mais je n’écris pas de livre. alors quand je trouve une faute : argh!

Et pour vous ? Qu’est-ce qui vous empêche d’acheter un livre?

Top Ten tuesday n°2 : Les 10 auteurs qui mériteraient plus d’attention

Le Top Ten Tuesday est un rendez-vous hebdomadaire dans lequel on liste notre top 10 selon le thème littéraire défini.

Ce rendez-vous a initialement été créé par The Broke and the Bookish et repris en français sur le blog de Iani.

Le thème cette semaine est : 

Les 10 auteurs qui mériteraient plus d’attention

Ouh la-la, encore un thème pas facile…

D’une manière générale, je trouve que tous les auteurs de SFFF devraient recevoir plus d’attention. A quand des invitations dans les émissions littéraires ? Des premières pages de Lire… Après en choisir 10, là, c’est la galère. Car il y en a tant que je n’ai pas encore lu (argh, je meurs… sic) et je ne vais proposer que des auteurs que j’ai déjà lu. Il y en a aussi qui étaient peu connus et qui commencent à l’être dans la blogosphère, mais est-ce suffisant ? Plus d’attention de la part de qui d’ailleurs ? Et comment ? Bon, je vais arrêter de me poser des questions et me lancer (amstramgram….).

                   

  • En urban fantasy : 

Ilona Andrews et Kim Harrison : je les propose en même temps, car j’adore leurs livres, les séries sur Kate Daniels et Rachel Morgan. Leurs deux noms pourraient compter pour trois auteurs, puisque Ilona Andrews est le nom de plume de Ilona Gordon et de son mari Andrews Gordon. Ils vivent tous aux États-Unis et étaient publiés chez Milady. Malheureusement, les recettes n’étant pas aux rendez-vous, leurs publications ont été stoppées. Or ce sont de très bonnes séries qu’ils proposent, sans trop de romance, avec des héroïnes attachantes, aux caractères bien trempés, tout en restant crédibles. Alors il leur faut plus d’attention pour plus de lecteurs et de nouvelles publications en français!

  • En fantasy :

Régis Goddyn et Gabriel Katz : la fantasy française a montré, avec ces deux auteurs, qu’elle avait beaucoup de surprises à révéler et qu’elle était riche d’auteurs talentueux. Tout le monde n’a pas la chance de les connaître, il devrait recevoir plus d’attention afin d’être connus du grand public. (Série Le sang des 7 rois et trilogie Le Puits des mémoires )

  •  En BD :

Krystel :  elle a dessiné et fait les couleurs de la BD Ash, que j’ai trouvée magnifique. Alors j’aimerais bien voir plus de ces travaux.

Bastien Lecouffe Deharme : coup de cœur de cette année, il a écrit, dessiné, fait les couleurs etc. de Memories of Retrocity. Français, il est expatrié aux USA. J’aimerais vraiment qu’il sorte le tome 2, alors Bastien la France t’aime!!!

Lilidoll : je reste chez les Français. Lilidoll fait beaucoup d’illustration pour enfants mais son livre *Milky (beau livre, conte…) vaut vraiment le détour. Plus de livre pour adulte s’il te plaît Lilidoll!

  •  En contemporain :

Charline Quarré : jeune auteure française, son deuxième livre m’a secouée. Difficile d’en dire plus (je vous renverrais bien à ma chronique). Pour le moment, elle n’est pas publiée par une « grande maison d’édition ». Une auteure à suivre. 

  • En policier :

Roberta Gellis : auteure américaine, sa bibliographie indique qu’elle a écrit plus de vingt-cinq romans historiques, pour lesquels elle a reçu de nombreux prix, et qu’elle est également l’auteur d’œuvres de fantasy, de science-fiction et de mystères romantiques. Or en français, ne sont disponible que 5 titres présentant les aventures de Magdalaine la Bâtarde. J’ai adoré ces policiers historiques, dont l’héroïne est la tenancière d’une maison de passe au XVIIème siècle à Londres.Au de là de la simple aventure policière, la place de la femme à cette époque est présentée d’une façon peu banale. C’est bien dommage de ne pas pouvoir lire plus de ses oeuvres. 

  • En inclassable :

Christopher Moore : encore un auteur américain, mais alors là un cas à part. La moitié de ses livres sont bien édités en France, mais ce n’est pas le cas des derniers. Ce qu’il écrit est tellement barré, qu’il faut absolument le lire ! Le lézard lubrique de Melancholy Cove est une sorte de polard sous ecstasy. Je vous invite à aller lire la quatrième de couverture de ce roman pour vous faire une idée des histoires déjantées que M. Moore écrit.

                 

Top Ten Tuesday n°1 : Les 10 meilleures et ou pires adaptations cinématographiques de livres

Le Top Ten Tuesday est un rendez-vous hebdomadaire dans lequel on liste notre top 10 selon le thème littéraire défini.

Ce rendez-vous a initialement été créé par The Broke and the Bookish et repris en français sur le blog de Iani.

Le thème cette semaine est : 

Les 10 meilleures et ou pires

adaptations cinématographiques de livres

 

Pour me lancer dans l’aventure du TTT, le thème est plutôt ardu. En effet, comment juger la qualité de l’adaptation cinématographique? Uniquement sur le fait qu’elle respecte le texte? Ou alors l’atmosphère générale? Ou tout simplement sur le fait qu’on ait aimé le livre, même s’il y a des divergences par rapport au film? N’étant pas une spécialiste, je vais le faire à ma sauce approximative. Encore faut-il avoir vu les films adaptés de livres et lu les livres correspondant.

Les pires :

  • Eragon (2006) réalisé par Stefen Fangmeier : je n’ai qu’un vague souvenir du film, pas très bien joué, des effets spéciaux bas de gamme, quand on compare au livre de Paolini qui est juste passionnant, ça ne tient pas la route.
  • Les Aventures de Tintin. Le secret de la Licorne (2011) réalisé par Steven Spielberg : tout simplement parce que je me suis ennuyée. Or ce n’était pas le cas en lisant la bande dessinée, pauvre Hergé.
  • Stardust, le mystère de l’étoile réalisé par Matthew Vaughn (2007) : je me suis ennuyée lors de la projection, j’ai trouvé le film nian-nian pas prenant, destiné à de jeunes enfants… Une version très édulcorée du livre de Nail Gaiman.

 

Les meilleures :

  • Le seigneur des anneaux réalisé par Peter Jackson (2001 à 2003) : de quoi lancer la controverse. J’ai bien aimé car même si les films n’étaient pas fidèles à 100% aux livres j’y ai retrouvé l’atmosphère que j’avais imaginé à la lecture des livres de J. R. R. Tolkien.
  • Harry Potter à l’école des sorciers réalisé par Chris Columbus(2001) : assez fidèle, je crois, au livre de de  J. K. Rowling (lu et vu à plusieurs années d’écart). J’ai vraiment aimé le film.
  • Le nom de la rose réalisé par Jean-Jacques Annaud  (1986) : il s’est passé pas mal d’années entre le visionnage du film que j’avais adoré et la lecture du livre d’Umberto Eco, qui m’avait également beaucoup plus. Je les avais trouvé en accord au niveau de l’histoire, de l’ambiance générale et des personnages.
  • Twilight, chapitre I : Fascination réalisé par Catherine Hardwicke (2008) : rhaaaa Twilight! Là il y a sûrement de quoi polémiquer. J’ai en tout cas adoré ce film, qui m’a donné envie de dévorer les livres de Stephanie Meyer (et oui! et je l’assume). 

Je m’interroge :

  • Dracula réalisé par Francis Ford Coppola (1992) : je n’ai lu que l’année dernière le livre de Bram Stoker et mes souvenirs du film sont un peu lointains. J’ai l’impression qu’il y avait quelques divergences au niveau des personnages (des vampires plus glamours que dans le livre), mais que dans l’ensemble c’était plutôt réussi.
  • Le parfum, histoire d’un meurtrier réalisé par Tom Tykwer (2006) : là c’est le film que j’ai vu récemment et la lecture du livre de Patrick Süskind qui remonte à plus de vingt ans. J’ai trouvé l’ambiance du film particulière et captivante. Mais était-il fidèle au livre? Là je ne m’en rappelle pas assez.
  • Dune réalisé par David Lynch (1984) : j’avais été fascinée par ce film que j’avais vu à sa sortie (petiote), je n’ai lu que bien plus tard le début du cycle de Dune de Frank Herbert. Était-il fidèle? Je ne sais pas.

Ce sera tout pour ce mardi.

Mes lectures de juillet 2013

Les Gardiens des Éléments, tome 1 : La Maîtresse du Vent de Rachel Caine. De l’Urban fantasy, qui introduit un nouveau concept au niveau des pouvoirs, ici point de sorcière ni de vampire, il s’agit de maîtriser les éléments et de guerres de pouvoirs. Quelques longueurs au départ, mais de très bonnes idées. Quelques personnages sont justes évoqués ce qui laisse entrevoir beaucoup de possibilité, à suivre. 16

A comme Association, tome 1 : La Pâle Lumière des ténèbres d’Erik L’Homme. 17

Quai d’Orsay, tome 2 : Chroniques diplomatiques, partie 2 d’Abel Lanzac & Christophe Blain. BD. Salué par la critique, par Angoulême, mais pas par mois. Cette BD présente les dessous de la politique française. J’ai trouvé cela intéressant  au départ, puis répétitif à la longue. De plus, je n’ai pas apprécié le dessin.13

xxx Holic, tome 02 de Clamp . Le tome 1 avait donné un premier aperçu de cet univers particulier. Watanaku est toujours perdu face aux comportement de son employeur Yuko. On en apprend un peut plu sur domeki. J’aime de plus en plus l’univers de XXX Holic un brin farfelu et fantastique. Le dessin de Clamp me plaît beaucoup, il n’économise pas les détails et les beaux traits. 17

Rachel Morgan, book 06 : The Outlaw Demon Wails de Kim Harrison. La suite des aventures de Rachel Morgan, en VO puisqu’elles ne sont plus publiées en France. C’est toujours aussi bien. On en apprend plus sur les liens entre Rachel et sa colocataire Ivy. Leurs vies sont compliquées mais offrent des perspectives intéressantes. De quoi me motiver à lire en Anglais.18

Du côté de chez Swann de Marcel Proust. 16

Alex Craft, tome 1 : Nécromancienne de Kalayna Price. Un monde où les faës côtoient les humaines, où l’un des émissaires de la mort s’est entiché d’une nécromancienne, un mystère et une enquête palpitante. Une nouvelle série d’urban fantasy que je vais suivre avec attention. 17

xxx Holic, tome 03 de Clamp . On découvre  de plus en plus ce que Domeki peut apporter à Watanuki (les deux garçons de l’histoire). C’est toujours un peu la même trame : de nouveaux protagonistes avec une nouvelle histoire, qui permet d’en apprendre plus sur nos héros.Dans chaque tome il y a des pages complètes représentant juste une illustration, je les trouve très belles. 17

xxx Holic, tome 04 de Clamp . J’ai été un peu moins emportée par l’histoire de ce tome, mais il m’a permis de découvrir les traditions japonaises autour de la Saint Valentin (ce sont les filles qui doivent offrir du chocolat, un mois après c’est le white day et là les garçons doivent faire des cadeaux en retour). Les quelques pages en couleur au début de chaque tome me donnent envie que tout le tome soit en couleur. 16

Métaphysique du vampire de Jeanne-A debats. 17

xxx Holic, tome 05 de Clamp . Domeki prend de plus en plus de contacts avec des êtres non humains, il commence à accepter peu à peu cette partie de son être. On découvre que Yuko nous cache encore beaucoup de choses. Ce qui est sûr c’est que je vais continuer la série.  17

Quantika, tome 1 : Vestiges de Laurence Suhner. Chronique à venir, de la SF, bien fraîche, qui fait du bien. 18

Les Loups de Mercy Falls, tome 1 : Frisson de Maggie Stiefvater. YA. Ayant lu le tome 1 de La prophétie de Glendower, j’ai eu envie de débuter cette série de l’auteure, qui est assez plébiscité. Déception, trop de romance, d’attente et de rabâchage de « ah qu’il a  de beaux yeux… ». Ce n’était pas pour moi.13

Dans les veines de Morgane Caussarieu. Chronique à venir pour une histoire de vampires bien méchants et bien crades.16

A comme Association, tome 1 : La Pâle Lumière des ténèbres d’Erik L’Homme

Quatrième de couverture :

Prénom : Jasper. Age : 15 ans. Description : grand, maigre, peau blafarde et yeux charbon. Profession : agent stagiaire à l’Association et lycéen (à ses heures perdues). Signes particuliers : pratiques la magie et joue de la cornemuse dans un groupe de rock médiéval. Aime : les mauvais jeux de mots, Donjons et Dragons, l’Agent stagiaire Ombe. Mission : démanteler un trafic de drogue chez les vampires.

Apparemment voilà un livre qui se classe dans les incontournables en  jeunesse, écrit par des français. En effet, le projet a été travaillé par Eric L’Homme et Pierre Boterro. Celui-ci a signé le tome 2 et le tome 4. Eric l’homme a décidé de poursuivre le projet après sa disparition. 

Mon ressenti :

Le récit à la première personne embarque immédiatement le lecteur dans les aventures de Jaspert. J’ai suivi cet adolescent sympathique dans ses pérégrinations et ses enquêtes surnaturelles. L’histoire est assez courte, n’oublions pas le public jeunesse, un peu trop courte pour une adulte, signe que j’ai apprécié du début à la fin.

Le style est tout à fait adapté au public, mais jamais abêtissant. Le je omniprésent et les dialogues donnent beaucoup de vie au texte, ce qui est parfait pour un livre d’aventures jeunesse.

Jaspert est vraiment chouette, il a beaucoup d’humour, une bonne dose de curiosité, qui n’est pas sans danger d’ailleurs. J’ai envie de savoir comment il va évoluer et grandir. De nombreux personnages secondaires laissent présager des développements ultérieurs intéressants : Ombe, un autre agent stagiaire, mais une fille, Walter le chef, le sphinx qui s’occupe des réserves, la mère de Jaspert sorte de sorcière new age…

Tout le livre est sympathique, mais j’ai particulièrement apprécié les visites de la réserve, pleine de mystères et d’ingrédients bizarres et avec un gardien, surnommé le sphinx vraiment intrigant.

Au final, une lecture agréable, une bonne histoire pleine d’aventure, pas moralisatrice. Un très bon roman jeunesse, qui me donne envie d’en lire une version pour adultes.

 Session 17 : Lumière