Une aventure de Sabina Kane, tome 2 : Rouge sang, noir magie de Jaye Wells

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Auteur : Jaye Wells – Editions Orbit – Parution : 12/10/2011 – Pages : 298 – Prix :  15,15€ – Genre : urban fantasy, fantastique

 

Quatrième de couverture :

Ne pas oublier :

1. de survivre à la règle de magie nº101,

2. d’entretenir des relations cordiales avec ma sœur jumelle,

3. de rester en vie. 

Sale temps pour Sabina. Côté famille, d’abord, sa propre grand-mère, leader du clan des vampires, vient de lancer un contrat sur sa tête. Côté travail : quand elle débarque à New York pour rencontrer le clan des mages, l’entrevue s’envenime et tout le monde semble penser qu’elle est une sorte d’Elue qui réconciliera les deux races. Sauf que les prophéties ne sont vraiment pas le truc de Sabina. Côté cœur, enfin, il va falloir en découdre avec un ancien flirt… sans oublier le nouveau. Sabina pensait qu’elle n’allait faire qu’une bouchée de New York, mais c’est la ville qui pourrait bien la dévorer toute crue !

 

Je n’avais pas chroniqué le tome 1, que j’avais lu avec plaisir. Voici donc le 2.

Mon ressenti :

Comment définir Sabina Kane? De l’urban fantasy bien ficelée. Déjà il n’y a qu’une scène de sexe, formidable ! Oui je fais une overdose… Et elle arrive au bon moment, donc un bon point. Il n’y a pas non plus de la romance, juste un peu d’amour, deuxième bon point!  Mais, vous me direz ça ne suffit pas pour faire un bon livre, en effet. L’auteur nous propose un monde où des êtres surnaturels coexistent avec les humains sans leur dévoiler leur existence. Jusque là rien de neuf, mais ici deux factions se font la guerre : les mages et les vampires. Voilà ce qui va constituer la trame de fond. Sabina est le résultat d’une union contre nature entre ces deux factions, ce qui va lui causer beaucoup de problèmes bien entendu.

Le tome 1 a posé les premières bases de l’univers, le tome 2 apporte encore de nouveaux éléments, notamment par rapport aux mages, à la sœur  de Sabina ou encore pa rapport à sa famille. Il y a donc encore beaucoup de chose à découvrir dans le monde de Sabina Kane. Ces intrigues de fond vont donc continuer à être développée, avec en premier plan de l’action, beaucoup d’action.

Sabina est une héroïne d’urban fantasy comme je les aime, avec du punch, qui sait se battre (forcément c’est un assassin), qui ne se laisse pas marcher dessus et qui n’a pas la langue dans sa poche. Le contrat pour l’héroïne est donc également rempli avec une mention spéciale pour son familier le démon Giguhl.

Au final, une bonne histoire d’urban fantasy, qui ne va pas révolutionner le genre mais qui est très agréable à lire. Ça tombe bien j’ai déjà le tome 3 !

 

D’autres avis chez : Zina, Dup, Mylène, Bambi 

 Escale à New-Yorkn°14

Session 27 « sang » n°52 n°13

Le Pensionnat de Mlle Géraldine, tome 1 : Etiquette & Espionnage de Gail Carriger

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Auteur : Gail Carriger  – Editions : Orbit – Parution :  12/03/2014 – 354 pages – prix :  16,90€ – genre : jeunesse, urban fantasy

 

Quatrième de couverture:

C’est une chose que d’apprendre à faire une révérence comme il faut. C’en est une autre que d’apprendre à faire une révérence en lançant un couteau.

Bienvenue au Pensionnat de Melle Géraldine. Angleterre, début du 19e siècle. Sophronia, 14 ans, est un défi permanent pour sa pauvre môman : elle préfère démonter les horloges et grimper aux arbres qu’apprendre les bonnes manières ! Mrs Temminnick désespère que sa fille devienne jamais une parfaite lady… aussi inscrit-elle Sophronia au Pensionnat de Melle Géraldine pour le Perfectionnement des Jeunes Dames de Qualité.

Mais Sophronia comprend très vite que cette école n’est peut-être pas exactement ce que sa mère avait en tête. Certes, les jeunes filles y apprennent l’art de la danse, celui de se vêtir et l’étiquette ; mais elles apprennent aussi à donner la mort, l’art de la diversion, et l’espionnage – le tout de la manière la plus civilisée possible, bien sûr.

Cette première année au pensionnat s’annonce tout simplement passionnante.

 

J’ai découvert la plume de l’auteur lors de ma lecture de Sans âme  (Tome 1 du protectorat de l’ombrelle), une lecture qui m’avait plus sans non plus m’extasier. Comme j’ai apprécié l’univers développé, j’étais curieuse de voir ce que proposerait l’auteur à un public plus jeune.

Mon ressenti :

Grand bien m’en a pris. En effet j’ai suivi avec plaisir les aventures de Sophronia. Trop intelligente pour son entourage, Sophronia démonte tout ce qu’elle trouve chez ses parents. En plus elle lit, n’aime pas porter des robes… Sa mère est donc ravie quand on lui propose d’inscrire sa fille au Pensionnat de Melle Géraldine pour le Perfectionnement des Jeunes Dames de Qualité. Nous allons vite découvrir que ce pensionnat est en fait une école pour espionne et j’ai suivi avec joie les différents enseignement que Sophonia reçoit dans une espèce de bateau volant à vapeur… Actions et intrigues sont au rendez-vous. Sophronia va démontrer que ses défauts pour les uns, s’avèrent des qualités pour les autres et des avantages dans tous les cas.

Le ton du récit est léger et correspond parfaitement au public et à l’histoire. L’auteur nous projette dans un univers steampunk où engrenages et dentelles font bon ménage, sur un fond de vapeur. Le récit est bien rythmé et l’on prend un réel plaisir à la lecture même si la fin est assez attendue.

Gail Carriger nous propose une fois de plus une héroïne au caractère bien trempé et à l’intellect développé, une héroïne comme je les aime ! Curieuse et dégourdie, elle est la candidate parfaite pour faire une espionne. Contrairement à ses camarades de classe, elle fait fi des convenances et ne tient pas compte des classes sociales pour se lier d’amitié (elle est trop cool!). Ses amis offrent une belle palettes de personnages secondaires avec du caractère.

 Au final, une lecture très divertissante et agréable, avec une héroïne qui a tout pour plaire. On se prend vite au jeu des aventures de Sophronia, dans un univers très steampunk. Je vais continuer à suivre la série avec intérêt.

 

D’autres avis chez : PhookaMylène

n°15 n°2

 n°55  n°1

Death Note, tome 02 de Tsugumi Ohba & Takeshi Obata

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Scénario : Tsugumi Ohba, Dessin : Takeshi Obata – Editions Kana (Dark) – Parution : 01/02/2007 – Pages : 200 – Prix : 6,85 € – Genre : manga, shonen

 

Quatrième de couverture :

Light entend bien imposer au monde sa vision de la Justice ! De nombreux criminels sont morts après que leurs noms aient été inscrits dans le Death Note ! Alerté par ces morts étranges, le FBI enquête au Japon. Light fait partie des suspects mais, grâce au Death Note, il parvient à se débarrasser des soupçons qui pèsent sur lui.

Malgré cela, L, continue à suivre le jeune homme !

 

Après un tome 1 intrigant j’ai décidé d’en apprendre plus sur le Death note.

 

Mon ressenti :

L’histoire reprend là où le tome 1 s’était arrêté, comme s’il n’y avait pas eu de fin, de pause. On est donc replongé immédiatement dans l’univers très sombre de ce manga. Les grandes lignes de l’histoire ont été tracées dans le tome 1, dans ce tome 2 elle se développe. En parallèle de l’histoire générale, la personnalité des personnages est approfondie, détaillée. On en apprend plus sur ce fameux L., puis sur Light. Celui-ci est de plus en plus machiavélique. Il tue de plus en plus d’innocents pour parvenir à ses fins, le tout sans se questionner. D’une envie de créer un monde meilleur, il est arrivé à la volonté de devenir dieu. Il expérimente toutes les possibilités du Death note et son ingéniosité dépasse celle du dieu de la mort. Cette évolution laisse peu d’espoir pour lui. La fin n’en ai pas une, elle fait le lien avec le tome 3. Malheureusement je n’avais pas celui-ci sous la main.

Le dessin est toujours aussi travaillé. Les personnages sont détaillés, on comprend leurs sentiments grâce aux expressions de leur visage. A contrario, les lieux sont peu visible. Ceci est assez logique, avec un récit plus porté sur les personnages et leur psychologie.

Au final, une lecture toujours intéressante mais qui demande d’avoir la suite à portée de main. 

 n°49

Death Note, tome 01 de Tsugumi Ohba & Takeshi Obata

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Scénario : Tsugumi Ohba, Dessin : Takeshi Obata – Editions Kana (Dark) – Parution :18/01/2007 – Pages : 210 – Prix : 4,95€ – Genre : manga, shonen

Quatrième de couverture :

Light, un brillant lycéen, découvre le carnet d’un dieu de la Mort. Tous ceux dont le nom y est inscrit sont condamnés à mourir ! Un duel sans merci s’engage entre Light, le justicier, et L, un mystérieux enquêteur.

Je ne me rappelle plus où j’avais entendu parlé de ce manga, peut être sur Livraddict. Je me rappelle juste que les descriptions m’avaient donné envie de le lire et qu’il était « du genre A lire absolument ».

 Mon ressenti :

Dans ce manga on n’est pas du tout au pays de Candy. L’ambiance est très sombre et plutôt pessimiste. Que feriez-vous si vous aviez le pouvoir de vie et de mort sur les autres êtres humains ? Light, lycéen de 17 ans, ne s’est pas posé la question pendant très longtemps. Il a essayé le Death note, sans trop se poser de question. Son objectif : créer un nouveau monde en éliminant les criminels. Il s’octroie donc le rôle de juge et de bourreau. Et rien ne l’en empêchera, même pas les innocents. Etait-il mauvais au départ? Ou bien est-ce l’influence du Death note et du dieu de la mort qui l’accompagne? L’auteur le parti pris de l’humain et de son ambition. De quoi alimenter de nombreuses réflexions.

Le dessin est très travaillé, ce qui donne envie de lire le mange dès les premières pages. Il se maintient durant tout le manga ce qui est vraiment agréable.  Le texte n’est pas en reste. Je ne crois pas avoir déjà lu un manga aussi dense.

Il y a trois personnages principaux, Light le lycéen, le dieu de la mort et L. le mystérieux policier. Le comportement de Light est décrit sous toutes les coutures et l’on découvre à la lecture son caractère bien trempé. Le dieu de la mort reste très mystérieux, il prétend ne pas apporter d’importance à la réussite des plans de Light, mais est-ce bien la vérité ? Enfin, il y a L. qu’on ne voit que de dos. Il apporte son soutien à Interpole pour stopper Kira (Light). On se retrouve dans la position inversée de la scène classique du gentil qui doit affronter un méchant mystérieux, ici c’est du gentil qu’on ne connaît rien.

Au final, une lecture très intéressante, qui pose pas mal de question. Je me demande comment l’histoire va pouvoir évoluer. il ne me reste plus qu’à lire le tome 2.

D’autres avis chez : Snow, Tigger Lilly,…

n°1 n°45

En attendant Halloween : un peu de bricolage

Mince mince un goûter d’haloween à préparer à la dernière minute (ou un apéro) ? 

Les « printables » vont nous sauver!

Il faut s’équiper de papier de 160g, d’une bonne imprimante, colle, ciseaux, règle, des petits pique, un machinou pour découper des formes (je ne sais pas comment ça s’appelle), pailles, ficelles, bonbons!!!! Et c’est parti.

En fouinant sur internet on peu trouver des modèles sympas. Pour moi ce fût facile puisque j’ai participé à un atelier animé par Cristina de BirdsParty.fr lors de la rencontre Oh My blog à Toulouse.

Et voilà le résultat ! Il ne reste plus qu’à remplir les boîtes de bonbons!

J’adore la chauve-souris.