Un programme alléchant, une météo clémente et un site avec vue sur les Pyrénées, c’était parti!

 

 

 

 

 

 

Le festival proposait de nombreuses activités, je ne parlerais bien entendu que de mon expérience. Vous pouvez retrouver toutes les informations ici : http://www.festivalbdpyrenees.fr/

Arrivée à 11h00, j’ai tout d’abord fait un repérage des lieux (expos, librairie, zone de dédicaces, alimentation – oui c’est important ça!-…). J’ai choisi les BD que je n’avais pas encore et que je souhaitais faire dédicacer à la librairie, tout en faisant un petit tour sur les différents stand présents (affiches, manga, BD d’occasions…).

Puis appréhendant de longues files d’attente de fans enragés devant les auteurs que je souhaitais voir je suis aller faire le pied de grue (élément très important pour avoir des dédicaces). Au final, peu de fan et pas d’auteur…. difficile d’atteindre Billere, ça prend un peu de temps. Midi passé et enfin les voilà! J’ai bien fait d’attendre. Jérémie Almanza est très sympathique et la discussion a démarré sur des sujets sans aucun rapport avec la BD.

Jérémie Almanza me dédicaçant Eco

Lilidoll me dédicaçant Milky.

Lilidoll est super sympa. J’adore ses dessin, mais il faudra que j’attende un peu pour voir sa prochaine oeuvre pour adulte, mais ça promet! (On peut voir à sa droite Minhindou Maya, une autre auteur de chez Métamorphose). J’ai adoré ce moment de dédicace, c’est l’occasion certes d’avoir un très beau souvenir, mais également de voir le dessinateur travailler et d’échanger.

Mon objectif prioritaire étant atteint je suis partie vers la Médiathèque, pour assister à la projection du reportage « Sous les bulles » de Maiana Bidegain , qui était suivi d’un débat. Sur le chemin, il y avait une exposition sur Zizi chauve souris  de Trondheim et Bianco.

(La vue était belle mais ça fait un sacré contre- jours pour la photo…) Ce documentaire sur les dessous de la bande dessiné, la surproduction et les difficultés pour en vivre, était très intéressant, mais apparemment un brin déprimant pour les auteurs. Participaient au débat : un éditeur français de Comics (je n’ai pas retenu le nom et je n’arrive pas à  le retrouver), Yve Jouffray scénariste et membre du syndicat des auteurs, Marko dessinateur (notamment des Godillots), Joël Callède scénariste, qui a participé à l’écriture du documentaire (et également conjoint de Maiana Bidegain), Maiana Bidegain la réalisatrice et l’animateur (dont le nom m’a échappé également).

Je serais bien restée pour la présentation de la Revue Dessinée, mais les expositions m’attendaient. Une première sur la création des comics :

Très bien faite, elle expliquait toutes les étapes de la création des Comics et elle présentait les différents éléments de la chaîne de création.

La seconde exposition intitulée « Bestiaires imaginaires » présentaient des dessins de Guillaume Bianco et des carnets de dessin de Lionel Richerand. Il a rempli ces carnets durant plusieurs années, y stockant toutes ses idées. On peut y trouver une partie dans  « Dans la forêt ». Des kakemonos  présentaient le tout. Autant dire que Lonel Richerand a encore beaucoup de matière pour de nombreuses productions…

Quand on parle du loup, me revoilà au stand des dédicaces avec un auteur qui a beaucoup d’humour !

Petit tour à la Maison des associations pour admirer l’exposition sur les godillots de Marko et Olier. La scénographie était très bien faite, avec des objets de la guerre 14-18.

J’ai poursuivi mon chemin pour voir l’exposition Billy Brouillard de Guillaume Bianco (ne dites pas encore lui, c’était le Président du Festival).

C’était une expo-jeu, pour les enfants? Je n’accroche pas totalement avec le dessin de Guillaume Bianco mais j’avoue que la planche avec le chat m’a bien fait rigoler…

La dernière expo était sur la Famille Passiflore  de Jouannigot. Dessin pour les enfant avec un air de Beatrix Potter ? Je n’ai pas trop accroché mais j’ai bien aimé les petits cochons.

Avant de partir je n’ai pas résisté et je suis aller faire dédicacer une autre BD

Le concert dessiné me tentait bien, mais à 18h00 j’étais crevée, il restait la route du retour. L’année prochaine peut-être ?