La Complainte d’Irwam, tome 1 : SyrYnis de Anna Combelles (nouvelle édition)

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Auteur : Anna Combelles  – Editions : Sudarènes édition – Parution : mars 2015 – 372 pages – Prix : 18 € – Genre : Fantasy, Urban-Fantasy

  

Quatrième de couverture : Pour plus de surprise à la lecture, ne la lisez pas 😉

Nathan, jeune lecteur passionné, est loin d’imaginer que derrière un Voile protecteur, les personnages qu’il crée naissent et vivent de nouvelles aventures. Pourtant, lorsqu’il rencontre Cassiodore et Léandre, les héros de sa dernière lecture, sa réalité devient presque aussi belle que les histoires qu’il apprécie. Mais, Irwam, gardienne du Voile, acceptera-t-elle de le laisser vivre et créer d’autres mondes ?

 

Mon avis :

J’avoue, je ne savais pas du tout à quoi m’attendre en ouvrant ce livre. Je n’avais même pas lu la quatrième de couverture. Des fois, j’aime bien avoir des surprises et être vierge de toute idée préconçue avant d’entamer ma lecture (même si j’en ai déjà toujours une ou deux qui tournent). La surprise a donc été totale.

Et quelle surprise ! Je m’attendais à un récit de fantasy assez classique (et bim une idée préconçue), que nenni ! Nous voici avec plusieurs mondes qui flirtent avec le notre, ou se situe le héros Nathan. La présentation de l’univers est très bien amenée et avec finesse. Le lien entre notre monde et ceux qui se situent derrière le voile protecteur est peu à peu dévoilé. J’ai vraiment beaucoup apprécié cette construction. L’intrigue se mets en place tout le long du livre, mêlant mondes et personnages. La fin arrive, du coup, trop vite et l’on a bien envie de connaître la suite.

Les personnages sont attachant, que ce soit Nathan l’incorrigible lecteur, ignorant de ses pouvoirs, Coline son amie un peu égocentrique au caractère bien trempé, mais finalement pas très sure d’elle. Cassiodore et Léandre forment quant à eux, un duo touchant. Je me suis inquiétée tout le long du récit sur leur devenir (et l’inquiétude persiste à la fin du tome 1 d’ailleurs). Irwam, sans doute du faite de son rôle de Gardienne du voile, m’a semblé plus distante (même si son monde m’intrigue au plus haut point).

Pour conclure, j’ai vraiment apprécié la découverte de la complainte d’Irwam. L’univers est très riche, complexe et construit avec subtilité. Je me suis attachée aux personnages, dont j’ai vraiment envie de découvrir la suite des aventures !

 

D’autres avis chez : Licorne,  UnChocolatdansmonroman, Neko, Mypianocanta, Cera

Session 2 Fantasy

Les Décharnés : Une lueur au crépuscule de Paul Clément

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Auteur : Paul Clément – Autoédition – Parution : 01/12/15 – 320  pages – Prix : 12,99 € – Genre : zombie, fantastique

 

Quatrième de couverture :

Une journée de juin comme une autre en Provence. Blessé à la cheville, Patrick, un agriculteur de la région, asocial et vieillissant, ne souhaite qu’une chose : se remettre au plus vite pour retrouver la monotonie de sa vie, rythmée par un travail acharné. Mais le monde bascule dans l’horreur lorsque les automobilistes, coincés dans un embouteillage non loin de chez lui, se transforment soudain en fous assoiffés de sang… de sang humain. S’il veut survivre, Patrick doit non seulement faire face à ces démons qui frappent à sa porte mais aussi à ceux, plus sournois, qui l’assaillent intérieurement. Et si cette petite fille, qu’il prend sous son aile, parvenait à le ramener, lui, vieux loup solitaire, dans le monde des vivants ?

 

Mon avis :

Zombiiiiiiiiiiiiiiiiiieeeee ! Je lis peu de livre d’auteurs autoédités, ayant tenté au début du blog et ayant été pas mal déçue. Mais là, j’ai cédé aux sirènes des zombies, aux, déjà nombreux, retours positifs et à la maîtrise du sujet par l’auteur, puisqu’il s’occupe du fameux site : http://www.myzombieculture.com/ Oui j’aime les zombies, sous toutes leurs formes et à toutes les sauces (ça c’est de la déclaration).

Voyons comment s’est passée cette lecture. La couverture met déjà bien dans l’ambiance et est assez représentative du récit, le ciel bleu de la Provence, la chaleur, les champs de blés, la voisine du village devenue zombie, du sang, manque plus qu’une scène un peu plus gore. Voilà pour le décor. Le récit, quant à lui, démarre en trombe, ce qui m’a un peu déstabilisé au départ. Nous avons à peine le temps de découvrir Patrick, l’anti-héros de cette histoire, que « pouf ! » les gens se transforment en zombie. Comment, pourquoi ? Suspens.

Notre pauvre Patrick, agriculteur misanthrope, se retrouve à lutter pour sa survie en quelques pages. Je trouve ses réactions assez réalistes. En effet, confronté à des hordes de zombies que ferions-nous réellement ? Serions-nous des héros, accueillant le moindre rescapé ou tout bonnement, protégerions-nous nos conserves à coups de pelle ? Cet anti-héros est tout sauf charismatique, mais le lecteur se prendra rapidement d’affection pour lui, quand il verra sa carapace se fendiller pour une petite fille, Emma.

Nous allons donc suivre ce duo atypique sur quelques kilomètres. Après un début en fanfare, on retrouve un récit de survie assez classique pour les amateurs de séries comme the Walking Dead. L’intérêt du récit se trouve dans les interactions entre humains, souvent bien nauséabondes. Certains rebondissements sont assez prévisibles, mais la fin m’a bien surprise.

Pour conclure, même si le fond du récit est assez classique (et très bien construit), j’ai vraiment apprécié de suivre Patrick dans sa survie en pleine apocalypse zombie. Son évolution est vraiment intéressante et ne m’a pas laissée de marbre. Une belle découverte. Le petit plus : pour une fois des zombies en France et en Provence, à la campagne, ça change !

 

Une réunion de tous les partis politiques de toutes les confessions, de toutes les tendances sexuelles, de toutes les couleurs de peau. Tous unis sous une seule bannière: celle de la faim, l’envie de nous dévorer. Une vraie tolérance apocalyptique.

La horde, lente mais déterminée, continuait à gagner du terrain à quelques dizaines de mètres, dans une scène de course poursuite dont le cinéma n’aurait jamais voulu. Les zombies avançaient péniblement tels des pantins désarticulés tandis que le héros, un vieillard au ventre proéminent, fonçait sur son bolide à quarante kilomètre-heure. James Bond en serait mort hilare.

D’autres avis chez : Amarüel, Acro, Sia, Blackwolf

Le Nibelung, tome 1 : Le Carnaval aux corbeaux de Anthelme Hauchecorne, Loïc Canavaggia et Mathieu Coudray

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Auteur : Anthelme Hauchecorne, Illustrateurs : Loïc Canavaggia et Mathieu Coudray  – Editions du Chat Noir – Parution : 10/02/2016 – 320  pages – Prix :19.90 € – Genre : fantastique

 

Quatrième de couverture :

Ludwig grandit à Rabenheim, un petit bourg en apparence banal.

Claquemuré dans sa chambre, il s’adonne au spiritisme. À l’aide d’une radio cabossée, il lance des appels vers l’au-delà, en vue de contacter son père disparu.
Jusqu’à présent, nul ne lui a répondu… Avant ce curieux jour d’octobre.
Hasard ? Coïncidence ? La veille de la Toussaint, une inquiétante fête foraine s’installe en ville. Ses propriétaires, Alberich, le nabot bavard, et Fritz Frost, le géant gelé, en savent long au sujet du garçon. Des épreuves attendent Ludwig. Elles seront le prix à payer pour découvrir l’héritage de son père.
À la lisière du monde des esprits, l’adolescent hésite… Saura-t-il percer les mystères de l’Abracadabrantesque Carnaval ?

Mon avis :

J’adore les univers développés par Anthelme Hauchecorne et je suis toujours avec attention ses parutions (Âmes de verres, tome 1 : Le SidhBaroque ‘n’ Roll,  Punk’s Not Dead). J’avais donc hâte de découvrir ce nouveau livre, que l’auteur avait présenté sur Facebook et sur son blog.

La première chose qui marque, quand on l’a en mains, c’est l’objet. En effet, la couverture est cartonnée, le papier épais, un plaisir à regarder ! Et quand on l’ouvre, on découvre les illustrations qui rythment le texte, ainsi qu’une mise en page très soignée. Tout cela met en appétit, en plus de la couverture.

Qu’en est-il du texte ? J’ai retrouvé avec un très grand plaisir la plume d’Anthelme Hauchecorne. Son écriture est mélodieuse, tant et si bien que j’ai lu des passages à voix haute pour en apprécier les sonorités, les rimes, le rythme. Le vocabulaire est très travaillé et d’une grande richesse. C’est donc un texte qui se déguste, qui se lit tranquillement, posément.

Et l’univers ? Une fois de plus l’auteur nous propose un monde un peu glauque, qui rappelle les milieux interlopes de Âmes de verre. Ici rien n’est vraiment clinquant, plutôt usé par le temps. On a l’impression de marcher dans la boue, de voir la rouille sur les objets, de sentir le passage du temps. Seul les personnages ramènent un peu de lumière, même s’ils sont également plutôt déglingués. Les habitants de Rabenheim ont tous quelques choses à cacher (sauf nos deux héros Ludwig et Gabriel), les membres du carnaval semblent, quant à eux, évadés d’un freak show.

Enfin, l’histoire, seul bémol pour moi. J’ai vraiment apprécié me plonger dans les histoires du carnaval maudit, de la fête des morts, évoluer du monde des vivants à celui des morts, découvrir les histoires de Ludwig et Gabriel… mais j’ai vraiment eu du mal à finir le livre. Un peu trop de détail, de rebondissements, le rythme de la fin du livre m’a éjecté du récit.

Pour conclure, ce livre est un très bel objet avec sa pagination et ses illustrations. On peut faire confiance à Anthelme Hauchecorne pour créer un univers glaçant, peuplé de personnages fantasques. Son écriture vous emportera sur des mers bien dangereuses pour les vivants, mais vous pourrez vous délecter de la richesse de son vocabulaire. Personnellement, une fin un peu plus synthétique m’aurait bien plu. J’ai hâte de lire le tome 2, afin de voir ce qu’il en est.

Il entend des choses ramper avec l’entrain spongieux d’une escadre de serpillières. Une puanteur marine lui poisse les narines, du mucus lui colle aux lèvres. Sur sa peau glissent les caresses visqueuses d’appendices sans nom. Montant des entrailles de la mine, une horde difforme nage parmi le smog, ombres de saltimbanques regagnant leur poste, mirages malveillants, inéluctables cauchemars d’enfants.

D’autres avis chez : Ptitetrolle, AcroXapur,

 

Testament, tome 2 : Alouettes de Jeanne-A. Debats

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Auteur : Jeanne-A. Debats  – Edition : ActuSF, collection : Les trois souhaits – Parution : 31/03/16  –  440 pages – Prix : 19€ – Genre : urban-fantasy

 

Quatrième de couverture :

Je m’appelle Agnès, et je suis orpheline. Ah ! Et sorcière, aussi. Mon oncle m’a engagée dans son étude notariale. Ne croyez pas que le job soit ennuyeux, en fait, ce serait plutôt le contraire. En ce moment, tout l’AlterMonde est en émoi à cause d’une épidémie de Roméo et Juliette. Imaginez : des zombies tombant amoureux de licornes, des vampires roucoulant avec des kitsune, des sirènes jurant un amour éternel à des garous. Et tout ce beau monde défile dans notre étude pour se passer la bague au doigt. Mais la situation commence à sérieusement agacer les hautes autorités. Et comme l’AlterMonde n’est pas Vérone, à nous de faire en sorte que cette fois l’histoire ne se termine pas dans un bain de sang…

 

Mon avis :

Voilà un tome 2 que j’attendais de pied ferme ! En rappel ma chronique du tome 1. Et je peux vous dire que je n’ai pas été déçue ! D’ailleurs je l’ai dévoré sur un week-end. Si ma chronique n’est pas arrivée tout de suite, ce n’est pas la faute du livre, mais de mon rythme d’escargot décérébré. Bref…

Tout d’abord sachez qu’il n’est pas nécessaire d’avoir lu le tome 1 pour dévorer ce tome 2, alors pas d’excuse !

Le récit démarre en trombe et plante le décor avec les réflexions de cette chère Agnès sur sa sexualité. Au programme, crise de fou rire, sourire et réflexions. Eh oui, car sous les remarques sarcastiques et humoristiques d’Agnès, sur la sexualité, ses relations avec les hommes, il y a de quoi réfléchir sur la place des femmes dans la société. Le tout avec intelligence et légèreté, un mélange bien réussi. Mais si vous n’êtes pas amateur de réflexions sur les galipettes je vous rassure, il y a beaucoup d’autres choses dans ce récit. Même si personnellement, j’ai adoré ces scènes.

Revenons à cette chère Agnès, que lui arrive-t-il cette fois-ci ? Alors qu’elle essaie toujours de comprendre qui elle est, quels sont ses pouvoirs, tout en tentant de surmonter le deuil de son cher amour, Agnès se retrouve confrontée à une épidémie de Roméo et de Juliette. Rien que ça ! Avec le cortège d’ennuis qui accompagne les amoureux transis : duels, insultes, morts… l’utilisation de la trame et des personnages du texte de Shakespeare est tout bonnement excellente ! Je l’avoue, je me suis ennuyée à la lecture de la pièce, la lecture d’Alouettes m’a permis de la voir sous un autre angle et d’apprécier à posteriori cette lecture (ce qui m’a sacrément surprise). D’ailleurs, le texte fourmille d’allusions littéraires, de références, que l’on découvre avec délice… et encore, je suis sûre d’en avoir loupé des tonnes.

Aux classiques de l’Urban Fantasy, genre : loup-garou + vampire + enquête + héroïne badass + un brin de romance, s’ajoutent de nombreux éléments qui apporte une touche unique : Paris comme cadre + une héroïne plutôt toute cassée qui tente de régler ses problèmes de poids + une variété d’espèces surprenantes + beaucoup d’humour + beaucoup d’intelligence.

Les personnages sont toujours aussi riches et fort en caractères. J’ai trouvé Agnès beaucoup plus dégourdie que dans le tome 1 (il faut dire que trois ans se sont passés) et elle m’a plus touchée. J’ai vraiment apprécié la façon dont elle nous embarque dans ses pensées, ses réflexions.

Pour conclure : la lecture d’Alouettes s’est avérée extrêmement plaisante, que ce soit au niveau de l’humour (j’ai vraiment beaucoup ri), qu’au niveau de la qualité de l’écriture (avec une richesse de références), ou encore de l’histoire qui est vraiment bien construite et très prenante (on ne s’ennuie pas, et le rythme enlevé ne se fait pas au dépend de la richesse de l’histoire). Un tome 2 qui dépasse largement le 1, vivement le 3 ! En bref : je me suis régalée !

 

NB 4 : « Tout est vrai, sauf ce qui ne l’est pas. » L’auteur.

On ne déclare pas son amour immortel moins d’une heure après avoir baisé : confondre la reconnaissance du ventre avec l’éternité est la preuve d’un absolu mauvais goût.

Les mecs, il vaut mieux leur coller des panneaux de signalisation avec des guirlandes de LEDS sous le nez quand ça ne va pas. Parce que si vous comptez sur eux pour s’en apercevoir tout seuls… ben, vous êtes pas rendue, ma petite !

D’autres avis chez : Joyeux Drille, Boudicca

De Force Karine Giebel

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Auteur : Karine Giebel – Edition : Belfond – Parution : 03/03/16  –  528 pages – Prix : 19,50 € – Genre : thriller

  

Quatrième de couverture :

« Le temps de l’impunité est révolu. Le temps des souffrances est venu. » Elle ne m’aimait pas. Pourtant, je suis là aujourd’hui. Debout face au cercueil premier prix sur lequel j’ai posé une couronne de fleurs commandée sur internet. Car moi, j’ai voulu l’aimer. De toutes mes forces. De force. Mais on n’aime pas ainsi. Que m’a-t-elle donné ? Un prénom, un toit et deux repas par jour. Je ne garderai rien, c’est décidé. A part le livret de famille qui me rappelle que j’ai vu le jour un 15 mai. De mère indigne. Et de père inconnu. Lorsque j’arrive devant la porte de mon ancienne chambre, ma main hésite à tourner la poignée. Je respire longuement avant d’entrer. En allumant la lumière, je reste bouche bée. Pièce vide, tout a disparu. Il ne reste qu’un tabouret au centre de la pièce. J’essuie mes larmes, je m’approche. Sur le tabouret, une enveloppe. Sur l’enveloppe, mon prénom écrit en lettres capitales. Deux feuilles. Ecrites il y a trois mois. Son testament, ses dernières volontés. Je voulais savoir. Maintenant, je sais. Et ma douleur n’a plus aucune limite. La haine. Voilà l’héritage qu’elle me laisse.

 

Mon avis :

Enfin, ma première lecture de Karine Giebel, depuis le temps que j’en entend parler ! Une lecture pleine d’attente par conséquent, ce qui n’est pas toujours un défi facile à relever pour le livre.

Le prologue est très prenant, avec une ambiance inquiétante, un sombre secret, une enfance sacrifiée… Il nous met l’eau à la bouche. Et le début du roman ne déçoit pas et part sur les chapeaux de roues. Donc un début plutôt enthousiasmant. Le suspens restera entier jusqu’à la fin, qui en veut au professeur Reynier et pourquoi ? avec de nombreux rebondissements. Cependant même si ceux-ci ont été bien amenés, je n’ai pas été tenue en haleine. J’ai tout de même lu le livre très rapidement mais au bout des deux tiers j’attendais la chute. 

L’écriture de Karine Giebel est efficace, elle plante le décor avec précision et maîtrise parfaitement les ficelles narratives du thriller. Mais il m’a manqué un je ne sais quoi pour que la lecture soit plus percutante. J’ai eu l’impression de survoler les personnages, de ne pas rentrer totalement dans la noirceur de leur relation.

Et pourtant, les personnages sont le grand atout de ce livre. Le professeur Reynier, sa fille Maud et sa femme Charlotte semblent être une famille modèle, mais de l’extérieur uniquement. Les relations sont empoisonnées par les rancœurs et le caractère de chacun. Même la gentille Maud, jeune femme brisée, révélera une facette peu reluisante de son personnage. Et il y a bien entendu Luc. Le héros malgré lui, au passé également mystérieux, le garde du corps au grand cœur.

Pour conclure, cette lecture s’est avéré très agréable, avec une palette de personnage fascinante. Cependant il aura manqué un peu de piment pour la rendre très bonne.

 

« Il aimerait pleurer. Aimerait qu’il y ait en ce monde quelqu’un capable de le comprendre.
Capable de le consoler. De le rassurer.
De faire de lui un homme heureux. »

D’autre avis chez : Nanet, AzilisJoyeux-Drille, Zina

Thème 2 Session 2 : thriller