Blackwater, tome 1 : La Crue de Michael McDowell

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Auteur : Michael McDowell – Traduction: Yoko Lacour et Hélène Charrier – Couverture: Pedro Oyarbide – Editions : Monsieur Toussaint Louverture- Parution : 07/04/2022  –  260  pages– Prix : 8.40€  – Genre : Fantastique

Quatrième de couverture :

Alors que les flots sombres et menaçants de la rivière submergent Perdido, une petite ville du sud de l’Alabama, les Caskey, une riche famille de propriétaire, doivent faire face aux innombrables dégâts provoqués par la crue. Mené par Mary-Love, la puissante matriarcale, et par Oscar, son fils dévoué, le clan s’apprête à se relever. Maus c’est compter sans l’apparition, aussi soudaine que mystérieuse, d’Elinor Dammert, jeune femme séduisante au passé trouble, dont le seul dessein semble être de s’immiscer au cœur de la famille Caskey.

Mon avis :

Non ne me tapez pas, mais je ne savais pas, avant de m’attaquer à cette lecture, que l’auteur était le co-créateur de Beetlejuice et de  L’Étrange Noël de Monsieur Jack. Quand Babelio m’a proposé de découvrir les deux premiers romans de la série Blackwater et que j’ai vu les visuels des couvertures, j’ai tout bonnement craqué. OUI, pour les couvertures, oui oui. J’assume.

Et franchement, ces couvertures sont magnifiques. Moi qui adore les beaux livres, d’aussi belles finitions pour un format poche, c’est le bonheur! Merci Monsieur Toussaint Louverture!

Mais au delà du magnifique objet de collection, qu’en est-il du récit?

Bienvenue à Perdido, une petite bourgade de l’Alabama, en l’année 1919. Le lieu l’époque, il faudra vous y faire, nous nous trouvons dans une petite ville où il y a les riches propriétaires et le personnel de maison qui est noir. Tout ce beau monde se partage la ville, dont les quartiers vont être séparés par deux rivières: Blackwater et Perdido.

Elles sont presque des personnages à part entière tant elles sont présentes dans le récit. Elles vont d’ailleurs être à l’origine de toutes les nouveautés qui vont arriver à Perdido. D’abord une crue, qui va bouleverser l’économie et la vie des habitants, puis l’apparition d’Elinor Dammert, retrouvée en pleine crue dans une chambre d’hôtel, qui semble pourtant avoir bien pris l’eau .

Comme l’eau, Elinor va s’infiltrer dans la communauté, tranquillement, irrémédiablement. Elle va se faire appréciée de tous et entrer petit à petit dans la famille Caskey, au grand dam de Mary-Love, qui domine ses enfants et son beau-frère.

Récit fantastique et inquiétant ou joute de pouvoir? Les deux. Une atmosphère étrange s’installe et on assiste à une guerre larvée entre les deux femmes. Les hommes n’y comprennent pas grand chose et subissent le résultat des échauffourées.

Ce roman surprenant et envoutant se lit très rapidement. La bonne nouvelle c’est qu’il y a encore 5 tomes à lire (enfin plus que 4 pour moi), qui vont être publiés à deux semaines d’intervalle.

D’autres avis chez: L’ours inculte, Café Powell…

8 réflexions sur « Blackwater, tome 1 : La Crue de Michael McDowell »

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