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Auteur : Gail Carriger – Editions : Orbit – Parution : 12/03/2014 – 354 pages – prix : 16,90€ – genre : jeunesse, urban fantasy
Quatrième de couverture:
C’est une chose que d’apprendre à faire une révérence comme il faut. C’en est une autre que d’apprendre à faire une révérence en lançant un couteau.
Bienvenue au Pensionnat de Melle Géraldine. Angleterre, début du 19e siècle. Sophronia, 14 ans, est un défi permanent pour sa pauvre môman : elle préfère démonter les horloges et grimper aux arbres qu’apprendre les bonnes manières ! Mrs Temminnick désespère que sa fille devienne jamais une parfaite lady… aussi inscrit-elle Sophronia au Pensionnat de Melle Géraldine pour le Perfectionnement des Jeunes Dames de Qualité.
Mais Sophronia comprend très vite que cette école n’est peut-être pas exactement ce que sa mère avait en tête. Certes, les jeunes filles y apprennent l’art de la danse, celui de se vêtir et l’étiquette ; mais elles apprennent aussi à donner la mort, l’art de la diversion, et l’espionnage – le tout de la manière la plus civilisée possible, bien sûr.
Cette première année au pensionnat s’annonce tout simplement passionnante.
J’ai découvert la plume de l’auteur lors de ma lecture de Sans âme (Tome 1 du protectorat de l’ombrelle), une lecture qui m’avait plus sans non plus m’extasier. Comme j’ai apprécié l’univers développé, j’étais curieuse de voir ce que proposerait l’auteur à un public plus jeune.
Mon ressenti :
Grand bien m’en a pris. En effet j’ai suivi avec plaisir les aventures de Sophronia. Trop intelligente pour son entourage, Sophronia démonte tout ce qu’elle trouve chez ses parents. En plus elle lit, n’aime pas porter des robes… Sa mère est donc ravie quand on lui propose d’inscrire sa fille au Pensionnat de Melle Géraldine pour le Perfectionnement des Jeunes Dames de Qualité. Nous allons vite découvrir que ce pensionnat est en fait une école pour espionne et j’ai suivi avec joie les différents enseignement que Sophonia reçoit dans une espèce de bateau volant à vapeur… Actions et intrigues sont au rendez-vous. Sophronia va démontrer que ses défauts pour les uns, s’avèrent des qualités pour les autres et des avantages dans tous les cas.
Le ton du récit est léger et correspond parfaitement au public et à l’histoire. L’auteur nous projette dans un univers steampunk où engrenages et dentelles font bon ménage, sur un fond de vapeur. Le récit est bien rythmé et l’on prend un réel plaisir à la lecture même si la fin est assez attendue.
Gail Carriger nous propose une fois de plus une héroïne au caractère bien trempé et à l’intellect développé, une héroïne comme je les aime ! Curieuse et dégourdie, elle est la candidate parfaite pour faire une espionne. Contrairement à ses camarades de classe, elle fait fi des convenances et ne tient pas compte des classes sociales pour se lier d’amitié (elle est trop cool!). Ses amis offrent une belle palettes de personnages secondaires avec du caractère.
Au final, une lecture très divertissante et agréable, avec une héroïne qui a tout pour plaire. On se prend vite au jeu des aventures de Sophronia, dans un univers très steampunk. Je vais continuer à suivre la série avec intérêt.
Ahhh tu as trouvé ma chronique
J’avais déjà très envie de ce roman : à la fois pour le magnifique objet livre et aussi (et surtout) pour ce résumé qui me parle très fort ! Ton billet ne fait qu’attiser mon désir !!
Bon, il va falloir que mes finances livres remontent dans le vert pour que je puisse y céder !
Bizz Cajou
Je suis ravie de te donner envie
j’avais été un peu déçu par celui ci. Ce n’était pas nul mais tellement en dessous de la série originale. Je lirais surement le 2 à l’occasion mais vraiment pas pressée.
Gail Carriger fait partie de ces auteurs que j’ai très envie de découvrir, et ton billet me confirme qu’elle en vaut la peine ! Et puis le steampunk j’adore !!!
Tu me donnes très envie de le sortir de ma PAL !
Je vais méditer là dessus ^_^