Synopsis :
Après sa transformation en vampire, Cat Crawfield pensait pouvoir mener une vie tranquille auprès de son mari Bones. C’était sans compter sur le fait que sa nature hybride ne la laisserait jamais rien faire comme tout le monde, pas même mourir. Ses nouvelles capacités inattendues vont permettre à un fanatique d’attiser les tensions entre goules et vampires, mettant en péril une trêve ancestrale. Cat et Bones n’ont d’autre choix que de se battre une fois de plus car un affrontement entre ces deux puissantes communautés serait désastreux pour le monde entier.
Année de parution française : 2012
Année de parution originale : 2011
Titre VO : Night Huntress, book 5 : This side of the Grave
Genre : Bit lit
Je suis cette série depuis le début. C’est donc logiquement que j’ai acheté ce cinquième tome.
J’avais un peu peur de me lasser, mais j’ai retrouvé avec bonheur l’héroïne Cat, son attractif mari Bones, sa mère, son oncle, sa meilleur amie, ses anciens collègue, bref tout le monde ! Le rythme est toujours entraînant avec sa bonne dose de bagarre et de romance.
Je ne me rappelais plus que l’humour était aussi présent et c’est donc une agréable redécouverte (un des amis de Cat est Vlad Tepes, qui n’est autre que Dracula, ce qui est l’occasion de quelques scène comique ou il est fait mention de sa « popularité »)..
L’auteur a épicé l’histoire d’un brin de magie noire. Les fantômes sont également plus présents. Tout cela fait que l’histoire ne s’essouffle pas et que l’on soit emporté par l’intrigue.
Par contre je me demande bien ce qu’elle pourrait trouver pour le tome 6. Il faut s’avoir qu’en parallèle de l’héroïne principale, elle a déjà écrit deux livres sur des personnages secondaires : Denise (la meilleure amie de Cat) et Menchères (le grand-père de Bones). est-ce le signe que la source se tarit ? A suivre.
Un bon moment : 7.5 sur 10

« Contrairement à moi, Bones n’éprouvait aucun dégoût à tenir un bras détaché de son corps d’origine. Il attrapa la goule par l’autre bras et se servit du premier pour lui assener des coups sur la tête. J’avais déjà entendu mon mari menacer des gens de les assommer avec leurs propres membres, mais j’avais toujours cru qu’il ne s’agissait que d’une expression. J’avais tort, visiblement. »

J’adore !