L’épée Brisée de Poul Anderson

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Auteur : Poul Anderson – Traducteur :  Jean-Daniel Brèque – Editions : Le Bélial – Parution : 14/11/14 – 320 pages – prix : 21 € – genre : Fantasy, Dark Fantasy

 

Quatrième de couverture:

« Imric n’eut qu’un bref aperçu d’une massive silhouette encapée, chevauchant une monture plongeant vers la terre, plus rapide que le vent, un gigantesque cheval à huit pattes monté par un homme à la longue barbe grise et au chapeau à larges bords. L’éclat de la lune accrocha la pointe de sa lance et son œil unique… Il traversait les cieux à la tête de sa troupe de guerriers morts, et les chiens aux yeux de feu aboyaient comme le tonnerre. Sa corne hurla dans la tempête, les sabots de sa monture tambourinaient comme la grêle tombant sur un toit ; et […] la pluie se déchaîna sur le monde. »
Voici l’histoire d’une épée qu’on dit capable de trancher jusqu’aux racines mêmes d’Yggdrasil, l’Arbre du Monde. Une épée dont on dit qu’elle fut brisée par Thor en personne. Maléfique. Forgée dans le Jotunheim par le géant Bölverk, et appelée à l’être à nouveau. Une épée qui, une fois dégainée, ne peut regagner son fourreau sans avoir tué. Voici l’histoire d’une vengeance porteuse de guerre par-delà le territoire des hommes. Un récit d’amours incestueuses. De haine. De mort. Une histoire de destinées inscrites dans les runes sanglantes martelées par les dieux, chuchotées par les Nornes. Une histoire de passions. Une histoire de vie…

« Lire L’Épée brisée, c’est comprendre en grande partie les origines d’une tradition parallèle de la fantasy représentée entre autres par M. John Harrison, Philip Pullman et China Miéville, des écrivains qui rejettent le confort d’un pub oxfordien et restent délibérément proches de résonances mythiques plus profondes », dit Michael Moorcock. Et le créateur d’Elric de rajouter qu’il s’agit là « d’un des plus influents livres de fantasy » qu’il ait jamais lus. Publié aux USA en 1954, à l’instar du premier volet du Seigneur des Anneaux, dont il s’avère une antithèse brutale. Un chef-d’œuvre jamais traduit en France. Jusqu’à ce jour.

 

Il aura fallu attendre 60 ans pour que soit traduit et publié en Français L’épée brisée.  Présenté par certains comme un chef d’oeuvre, cité par Morweena, j’étais curieuse de me faire mon propre avis.

Mon ressenti

Cette lecture ne fût pas de tout repos.

Premier challenge, surmonter la couverture pour pouvoir attaquer la lecture. Je crois qu’il n’y a pas de demi-mesure, on aime ou on aime pas. Amatrice des travaux de Nicolas Fructus, je n’ai pas été convaincue par cette illustration, pourtant assez représentative du roi des trolls, Illrede.

Deuxième challenge, surmonter la préface de Michael Moorcock. Déjà, elle va spoiler la moitié du livre, ensuite pour mettre en avant l’écriture de Poul Anderson elle descend Tolkien….. Mettre ce texte en post face aurait été plus judicieux, ayant lu le livre j’aurais pu comprendre les comparaisons d’écriture.

Et cette lecture justement? A la façon des sagas scandinaves, l’auteur nous plonge dans un récit épique mêlant viking, elfes, trolls, sorcière, mages, dieux… Faites votre choix, il y en a pour tous les goûts. Humains, elfes et trolls s’avèrent être comme toujours des marionnettes dans les mains des dieux, sans merci. Ici les elfes font penser aux fées de certains contes, voleurs d’enfant, sans cœur. Pas une seule espèce d’ailleurs ne tire son épingle du jeu au niveau charisme, ici on nage en pleine dark fantasy. Nous allons suivre les aventures de Skafloc, humain élevé par les elfes, sur fond d’une guerre impitoyable entre elfes et trolls. Une épée permettra de sauver les elfes des trolls, mais à quel prix ?

Tout dans le style rappelle les sagas scandinaves. Dès les premiers mots « Il était un homme », la présentation propre au récit héroïque des sagas est utilisé. Le texte est également parsemé de vers renforçant cette impression que l’histoire pourrait être déclamée auprès d’un feu lors d’une veillée.

Mais voilà, malgré l’histoire tumultueuse de Skafloc et de son double Valgard, malgré les efforts apportés à la forme du récit, cette lecture m’a laissée indifférente. Et depuis que j’ai refermé ce livre, je cherche à savoir pourquoi. Qu’est-ce qui n’ a pas pris chez moi ? Pourquoi n’ai-je pas ressenti l’engoûment d’autres lecteurs. Tout ce que j’ai trouvé, ce serait justement la forme du récit, peut-être suis-je totalement hermétique aux sagas scandinaves.

Au final, une histoire très bien construite, avec un univers très complet et un style énormément travaillé, mais qui n’a pas trouvé d’écho chez moi. Une lecture qui s’est donc avérée décevante par rapport à mes attentes.

 

D’autres avis, très entousisates, chez : Blackwolf, Lorhkan, Baroona

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Foire aux questions

Quelques questions que l’on m’a déjà posées ou qu’un visiteur de ce blog pourrait se poser :

  • Qu’est-ce que Les Lectures de Mariejuliet ?

Un blog personnel, sur mes lectures (Mariejuliet’s speaking), mes découvertes autour des livres, voir plus. Une seule personne à la barre, moi-même.

  • Est-ce que ce blog est lié à votre activité professionnelle ?

Absolument pas, il n’y a aucun lien entre les deux.

  • Est-ce que vous êtes rémunérée pour vos chroniques ?

Histoire de ne pas changer, pas du tout. Parfois le livre est offert en échange de la chronique.

  • Pourquoi tenez-vous ce blog (alors, pour les éventuelles personnes intéressées par les deux premiers points) ?

Parce que j’aime ça (réponse facile), parce que j’ai une mémoire de poisson rouge concernant mes lectures et j’en garde ainsi une trace (principe fondateur), car cela me permet d’échanger sur la lecture/les livres/ les festivals… (deuxième effet kiss cool)

  • Si on vous offre le livre, vous allez en dire du bien !

Eh non, quand je n’aime pas, je n’aime pas, point barre.

  • Pourquoi y-a-t-il autant de chroniques positives sur votre bl

Comme je ne chronique pas tout ce que je lis, j’ai tendance à préférer parler des lectures qui m’ont plu (sauf engagement dans le cadre d’un partenariat par exemple)

  • Etes-vous invitée par les festivals ?

Le rêve! Et toujours non comme réponse, hôtel, trajet, bouffe…. tout sort de ma petite poche.

  • Je me lance dans l’écriture, je voudrais vous faire découvrir mon livre

C’est très gentil de penser à moi, mais je croule sous ma PAL (pile à lire), donc je préfère choisir mes lectures.

  • Pourquoi n’écris-tu pas un livre ?

Euhhh ben j’aime lire, pas écrire. Écrire des chroniques me suffit amplement!

  • J’ai une autre question!

Un petit mail à : leslecturesdemj@yahoo.fr

Origines, tome 1 : Le Château des Millions d’Années de Stéphane Przybylski

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Auteur : Stéphane Przybylski – Editions : Le Bélial – Parution : 12/02/15 – 380 pages – prix : 20 € – genre : SF (mais aussi espionnage, aventure, historique…)

 

Quatrième de couverture:

Juin 1939.

Heinrich Himmler diligente une mission archéologique en Irak dans le but officieux de s’allier les populations locales afin de saper l’influence britannique et préparer l’avènement d’un nouvel ordre mondial…

Au sein de cette expédition qu’il dirige en sous-main, l’officier SS Friedrich Saxhäuser.

Héros de la Grande Guerre, agent naviguant dans les eaux troubles des divers services de renseignement du Reich, ce soldat hors normes a lié son destin à celui d’Adolf Hitler depuis le putsch manqué de Munich en 1923. Or, dans la vallée d’un affluent du Tigre, Saxhäuser met bientôt au jour l’impensable, une découverte si vertigineuse qu’elle pourrait bien changer la donne dans le conflit qui s’annonce… Mais encore faut-il pouvoir acheminer pareille trouvaille jusqu’en Allemagne. Et d’ailleurs, Saxhäuser le veut-il vraiment ?

Auteur d’ouvrages militaires et historiques, dont La Campagne de 1870, distingué par le prix de l’Académie de Stanislas, Stéphane Przybylski livre ici la pièce initiale d’un puzzle romanesque monumental. Mêlant le substrat épique desAventuriers de l’Arche perdue, un environnement conspirationniste digne des X-Files de Chris Carter, une rigueur historique pareille à celle des Puissances de l’invisible de Tim Powers, Le Château des millions d’années initie la tétralogie Origines avec une maestria époustouflante.

Quelques mots:

Le 12 décembre dernier, Le Bélial’  lançait son premier feuilleton numérique Origines. Il présentait le roman Le Château des millions d’années de Stéphane Przybylski (premier opus d’une tétralogie), découpé en 10 épisodes. L’initiative m’avait intriguée à l’époque. J’ai ensuite vu la magnifique couverture, illustrée par Aurélien Police. Et pour finir de me convaincre  j’ai lu des présentations, où il était fait mention de « Quand Xfiles rejoint Lawrence d’Arabie ». Le poisson avait mordu à l’hameçon et j’ai profité de l’opération La voie des Indés pour découvrir ce titre.

 

Mon ressenti :

Je ne savais pas du tout à quoi m’attendre en démarrant ma lecture. Allais-je avoir affaire à une histoire complexe et difficilement compréhensible par le commun des mortels? A un obscur roman historique assaisonné de SF ? A une uchronie classique? Eh bien que nenni !

Je vais essayer de vous parler un peu de l’histoire, mais c’est compliqué. Le récit principale se déroule à l’aurore de la seconde guerre mondiale, où nous allons suivre l’officier SS Friedrich Saxhäuser. Celui-ci quitte alors Berlin pour une expédition archéologique en Irak. Elle lui sert de couverture pour  mener à bien sa mission pour le service du renseignement. L’expédition, menée par Joachim Schmundt, a pour objectif de trouver la trace des premiers aryens, des êtres aux pouvoir exceptionnels, afin de démontrer la suprématie de la race aryenne. Cette aventure va s’avérer pleine de rebondissements, au lieu de grands blonds, nos explorateurs vont plutôt trouver des petits gris belliqueux. Voilà pour la trame principale. Celle-ci va être totalement morcelée, des bouts du passé des personnages vont venir s’intercaler, mais aussi des éléments du futur et du présent d’autres personnages. Dit comme ça, on pourrait croire que c’est le bazar. Mais non, l’auteur a trouvé une bonne recette et nous propose un texte tout à fait lisible et plaisant.

La trame principale nous sert une histoire pleine d’aventures, qui m’a beaucoup fait penser à Indiana Jones, entre les nazis, le désert, les recherches archéologiques et les éléments fantastiques, voir de science fiction (pour le dernier Indiana Jones, mais le texte est meilleur que le dit film). Les flashbacks vont nous fournir un background historique très précis, allant de la première à la seconde guerre mondiale, vu du côté allemand. Le tout donne un curieux mélange qui m’a beaucoup plus, alors que je ne suis pas férue d’histoire. J’étais même très surprise, que cela fonctionne aussi bien.

Difficile d’apprécier, au premier abord, Friedrich Saxhäuser, du fait de sa position dans l’entourage d’Hitler et de ses actions. L’histoire va permettre de mieux le comprendre, de suivre son parcours, pour arriver à cet homme qui doute en 1939. Ce cheminement n’a pas été sans me rappeler la lecture des Bienveillantes de Jonathan Littell. Joachim Schmundt joue dans un tout autre registre, mais de la même façon l’auteur va décortiquer son passé. Cette étude poussée des personnages est très réussi.

Au final, si vous n’êtes pas allergique aux flashbacks, laissez-vous tenter par cet ovni, qui mêle allègrement récit historique, Science Fiction, roman d’espionnage et d’aventure. Un joyeux mélange, qui fonctionnement extrêmement bien.

D’autres avis chez : CornwalVert, Mes Imaginaires

n°16

Le Cercle de Farthing de Jo Walton

 

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Titre : Le Cercle de Farthing – Auteur : Jo Walton – Traducteur : Luc Carissimo – Editions : Denoël, Lunes d’encre – Parution :  05/02/15 – 352 pages – prix : 21,50 € – genre : SF, uchronie

 

Quatrième de couverture :

Huit ans après que «la paix dans l’honneur» a été signée entre l’Angleterre et l’Allemagne, les membres du groupe de Farthing, à l’origine de l’éviction de Churchill et du traité qui a suivi, fin 1941, se réunissent au domaine Eversley pour le week-end. Bien qu’elle se soit mariée avec un Juif, ce qui lui vaut d’habitude d’être tenue à l’écart, Lucy Kahn, née Eversley, fait partie des invités. Les festivités sont vite interrompues par le meurtre de Sir James Thirkie, le principal artisan de la paix avec Adolf Hitler. Sur son cadavre a été laissée en évidence l’étoile jaune de David Kahn. Un meurtre a eu lieu à Farthing et un coupable tout désigné se trouvait sur les lieux du crime. Convaincue de l’innocence de son mari, Lucy trouvera dans le policier chargé de l’enquête, Peter Antony Carmichael, un allié. Mais pourront-ils ensemble infléchir la trajectoire d’un Empire britannique près de verser dans la folie et la haine?

 

Pourquoi cette lecture ?

J’avais apprécié la lecture de Morwenna, mais sans avoir ressenti l’engouement de certains. Les conférences données par Jo Walton lors des Utopiales 2014, m’ont donné envie de découvrir d’autres de ses livres. Le Cercle de Farthing est son deuxième roman à être publié en France (le premier étant Morwenna).

 

Mon ressenti :

Qui dit uchronie, dit science fiction, mais ne vous attendez pas à retrouver des avancées technologiques dans ce livre. Vous allez croiser plus de tasses de thé, que de téléphones. Le récit se situe en 1949, au sein de l’aristocratie anglaise, huit ans après la signature d’un traité de paix avec Hitler (c’est ici que se situe le point de divergence historique du récit). Cet accord, négocié par Le Cercle de Farthing (un groupe d’aristocrate influent),  lui laisse l’Europe, contre l’indépendance de la Grande Bretagne, qui récupère par la même occasion les colonies françaises (ce n’est pas un point important du récit, mais pour le clin d’oeil, je le cite). Un meurtre a lieu lors d’une réunion de ce fameux cercle. Nous voilà alors plongé en pleine intrigue policière, le tout assaisonné à la sauce British. Le lecteur peut avoir alors l’impression d’être au milieu d’une enquête d’Agatha Christie. L’inspecteur Carmichael va essayer de découvrir le coupable en louvoyant entre coup monté et intrigues politiques, tout en dégustant du thé de chine.

Jo walton nous propose une intrigue policière assez classique dans la forme : découverte du corps, venue de la police, interrogatoire, rebondissement… L’originalité et intérêt majeur du récit tiennent dans la forme, uchronique. Sur ce fond d’enquête, nous allons voir s’installer en Angleterre un totalitarisme, où il ne fait pas bon d’être juif ou opposant politique. L’auteur amène ce développement avec finesse et l’on en vient à penser « et si… ». Le récit est dynamisé par une narration divisée en deux points de vue : l’un vient de Lucy Kahn avec un récit à la première personne, l’autre suit les avancés de l’enquête.

Les héros de cette histoire sont Mme Kahn et l’inspecteur Carmichael. Je me suis plus intéressée à cette première, car elle a quitté son rang en épousant un juif. Elle est reniée par ses parents et perd tout prestige et avantage lié à sa naissance. Ce personnage très naïf m’a fait penser à une héroïne de Jane Austen propulsée au siècle suivant. Du fait du récit uchronique, on retrouve d’ailleurs l’un des ressorts dramatiques des récits de Jane Austen avec les problématiques liés à l’héritage du fait de la règle de lentail, pas d’héritage pour la descendance féminine (celui-ci a été aboli en 1925 en grande Bretagne).

Au final, j’ai trouvé cette lecture intéressante du fait de son point de vue uchronique, mais aussi du fait de son ambiance so British.  Jo Walton nous propose une enquête classique, très bien écrite, sur un fond de monté du totalitarisme. Winston Churchill, qui a écrit une uchronie où les Confédérés sudistes avaient gagné la guerre de sécession, se retrouve ici « victime » de l’uchronie en ayant été écarté des négociations avec Hitler. J’ai trouvé ce clin d’œil assez amusant.

 « L’hypocrisie anglaise, avait dit une fois David après trois bouteilles de vin, peut être merveilleuse. Des gens qui vous haïssent et vous considèrent comme un moins que rien, et qui en Allemagne vous enfermeraient dans un camp de travail forcé ou vous tueraient, se donnent la peine de faire semblant de ne pas être vraiment insultant. »

« Pendait-on les vicomtesses ? Ou les décapitait-on d’un coup d’épée comme Anne Boleyn ? »

 

D’autres avis chez : Blackwolf, Cornwall, Lune, Naufragés volontaires, …

 n°14

Ma première box de Pandore : février 2015

Connaissez-vous la Box de Pandore ?

Cela faisait pas mal de temps que j’en entendais parler de cette box enfant. Oui oui vous avez bien lu, pour enfant, mais également pour adolescent. C’est tout moi! (il ne vous aura pas échappé que je lis aussi de la littérature jeunesse et young adult). Pas n’importe quelle box, une box avec des livres!!!! Mais aussi des goodies. J’ai décidé de franchir le pas et de voir cela de plus près.

Point important, il y a trois box différentes  et quand l’on s’inscrit on précise pour qui est la box et les lectures que l’on préfère.

Samedi 14 février, j’ai découvert un gros colis dans ma boîte aux lettres!

 

Passons à l’ouverture (je suis sure que vous êtes aussi curieux que moi) :

 

Un bon point pour l’emballage qui protège le tout et la présentation avec le joli papier crépon.

Voici les différents éléments du colis, sortis de la boîte : un joli fagot de livres avec une carte spéciale anniversaire, une boîte mystérieuse, un sac à vêtement (pour tout bien ranger dans la valise), des infos (on peut parrainer) et un flyer d’information (que le chat avait dû voler quand j’ai pris la photo).

Dans cette mystérieuse petite boîte (où je vais pouvoir ranger des trésors), il y avait du thé et des biscuits, les compagnons indispensables d’une book-addict thé-addict. Avec les livres, il y avait deux marque-pages, accessoires indispensables, un spécial pour l’anniversaire de la box, qui souffle sa première bougie et un de Londres (souvenir souvenir). Chouette, le flyer d’information est revenu pour la photo, il explique la mise en place d’un système de point-cadeaux pour chaque commande, plutôt sympa comme idée.

Ah les livres!!!! Important dans une box livre.

Gardiens des Cités perdues, tome 1 de Shannon Messenger aux editions Lumen :

Depuis des années, Sophie sait qu’elle n’est pas comme tout le monde. Elle se sent à part à l’école, où elle n’a pas besoin d’écouter les cours pour comprendre. La raison ? Elle est dotée d’une mémoire photographique… Mais ce n’est pas tout : ce qu’elle n’a jamais révélé à personne, c’est qu’elle entend penser les autres comme s’ils lui parlaient à voix haute. Un casque vissé sur la tête pour empêcher ce bruit de fond permanent de la rendre folle, elle se promène un matin avec sa classe au musée d’Histoire naturelle quand un étrange garçon l’aborde. Dès cet instant, la vie qu’elle connaissait est terminée : elle n’est pas humaine et doit abandonner son existence entière pour rejoindre un autre univers, qu’elle a quitté douze ans plus tôt. L’y attendent une pléiade de nouveaux condisciples, amis et ennemis, et une question obsédante : qui est-elle ? Pourquoi l’a-t-on cachée dans le monde des humains ? Pourquoi n’a-t-elle que des souvenirs partiels de son passé ? Un premier roman baigné de magie, dont la fantaisie et le sens du suspense font des miracles, et où éclate le talent indéniable de Shannon Messenger. Un nom à retenir !

L’histoire me plaît beaucoup et je l’accueille avec plaisir dans ma pal.

 

Saya, tome 1 : L’Héritière de l’Empire Inca de Aurélie Derreumaux aux Editions Prisma :

Imaginez : jeune lycéenne à Paris, vous découvrez que vous êtes la réincarnation d’une princesse inca ayant vécu au XVIe siècle. Quand, en plus, vous apprenez que votre père, archéologue, vient d’être assassiné alors qu’il recherchait, au coeur de la jungle amazonienne, une fantastique cité inca, forcément, votre existence bascule… L’impétueuse Saya doit reprendre la quête de son père. De Séville à Washington, au sommet du Machu Picchu, Saya va suivre les indices laissés par la princesse inca, cinq siècles auparavant.
Accompagnée de son ami Enzo, elle vivra la plus grande aventure de sa vie ! Deux destins pour une même quête, une épopée trépidante entre passé et présent. Une course effrénée pleine d’humour, de mensonges et de trahisons, au cours de laquelle Saya découvrira l’amour…

Plus jeunesse, mais l’histoire m’intrigue.

 

Tangled, tome 1 : Love Game / Jeux sans frontières de Emma Chase aux Editions Hugo & Cie :

Drew, la trentaine irrésistible, est associé dans une grande banque d’investissement new-yorkaise. Le pouvoir, l’argent, les femmes, absolument tout lui réussit. Très sûr de lui et arrogant, il assume son statut de beau gosse et enchaîne les aventures sans lendemain. Jusqu’au jour où une femme lui résiste. Kate Brooks est sublime, brillante, et ambitieuse… mais fiancée et inaccessible. Lorsqu’il la rencontre dans un bar et tombe sous son charme, il ignore encore qu’elle deviendra sa collègue quelques jours plus tard… Bouleversés par le magnétisme sexuel qui les aimante et engagés dans une rivalité professionnelle diabolique, ils vont jouer avec leurs sentiments, s’aimer et se détester. Drew, le séducteur invétéré, nous prend à partie et nous décrit la façon dont il tombe amoureux. Il nous confie avec autodérision et cynisme ce que les hommes pensent vraiment…

On se rapproche ici du new adult et c’est moins ma tasse de thé. L’occasion de découvrir ceci dit.

 

Je trouve que les livres proposés avec les informations que j’avais données (mon âge, mes lecture et mes intérêts, en oubliant de préciser que la romance c’est pas trop ça) sont bien ciblés, ce qui n’est pas forcément évident.

 

Le tout forme un colis vraiment agréable à découvrir avec tout ce qu’il faut pour passer de bonnes heures de lecture et des goodies très sympas. Une seule envie : recevoir la box du mois suivant!!!

Une dernière photo avec tout ce qu’il y avait :

Si vous avez des petits bouts vous pouvez regarder sur le site les photos des box pour plus jeune.

Si vous souhaitez recevoir la box de mars, dépêchez-vous ! Vous pouvez la commander jusqu’au 28 février ici! Après vous recevrez celle d’avril.