Daughter of the Burning City de Amanda Foody

ID :

Auteur : Amanda Foody – Editions Harlequin Teen –  Parution : 25/07/2017  – 384 pages – Prix : 10.99$ – Genre : fantasy, young adult

Quatrième de couverture :

Sixteen-year-old Sorina has spent most of her life within the smoldering borders of the Gomorrah Festival. Yet even among the many unusual members of the traveling circus-city, Sorina stands apart as the only illusion-worker born in hundreds of years. This rare talent allows her to create illusions that others can see, feel and touch, with personalities all their own. Her creations are her family, and together they make up the cast of the Festival’s Freak Show.
But no matter how lifelike they may seem, her illusions are still just that—illusions, and not truly real. Or so she always believed…until one of them is murdered.
Desperate to protect her family, Sorina must track down the culprit and determine how they killed a person who doesn’t actually exist. Her search for answers leads her to the self-proclaimed gossip-worker Luca, and their investigation sends them through a haze of political turmoil and forbidden romance, and into the most sinister corners of the Festival. But as the killer continues murdering Sorina’s illusions one by one, she must unravel the horrifying truth before all of her loved ones disappear.

Traduction de la quatrième de couverture (approximative et très personnelle) :

Sorina, qui a 16 ans, a passé la plus grande partie de sa vie à l’intérieur des frontières fumantes, du Festival Gomorrah. Pourtant, même parmi les nombreux membres étranges de ce cirque-ville itinérant, Sorina se différencie, étant la seule créatrice d’illusion depuis plusieurs centaines d’années. Ce talent rare, lui permet de créer des illusions que les autres peuvent voir, sentir et toucher  et qui ont leur propre personnalité. Ses créations sont sa famille et ensemble ils forment les membres du Spectacle « Freak show » du Festival.

Mais, même si ses créations semblent vivantes, ses illusions ne sont, que, des illusions, pas vraiment réelles. C’était ce qu’elle pensait, jusqu’à ce que l’une d’elles se fasse assassiner.

Désespérée de ne pouvoir protéger sa famille, Sorina doit traquer les coupables et comprendre comment ils ont pu tuer une personne qui n’existe pas vraiment. Son besoin de réponse  la mènera vers l’auto-proclamé expert en potins, Luca. Leur enquête les fera traverser les brumes des crises politiques et d’amour interdit et les mènera dans les coins les plus sinistres du Festival. Mais comme le tueur continue d’assassiner ses créations une par une, elle doit éclaircir l’horrible vérité avant que tous ceux qu’elle aime ne disparaissent.

Mon avis

J’ai reçu ce livre dans la box Fairy loot de juillet. C’était donc une totale surprise et je n’avais jamais entendu parler de l’auteure.  J’ai trouvé la couverture très belle. La quatrième de couverture avec cette histoire d’illusion et de cirque un brin fantomatique était, de plus,  assez intrigante. J’ai donc décidé de me laisser tenter.

Le début nous permet de rentrer en douceur dans l’histoire en découvrant Sorina et la famille qu’elle s’est créée : des illusions faites réelles, ainsi que l’étonnant et immense festival itinérant : Gommorah. Si on baigne en pleine fantasy avec un monde qui  n’existe pas, des pouvoirs imaginaires, le genre du récit se rapproche plus du thriller. En effet, les membres de la famille de Sorina sont assassinés un par un. Elle va mener l’enquête, accompagné de Luca. Surprises et retournements de situation seront de la partie. Un peu de romance aussi, malheureusement moins bien intégrée dans l’histoire.

J’ai adoré l’ambiance de Gommorah, ce cirque géant, un peu fantomatique, toujours baigné de fumée. Freakshow et diseuses de bonne aventure en façade, coupe gorge et personnages aux mœurs légères dans ses bas-fonds. L’auteure a vraiment réussi à créer une ambiance très particulière. Le récit est plutôt bien mené, mais avec quelques lenteurs au milieu et un bémol sur l’histoire d’amour qui est de trop pour ma part.

J’ai apprécié le côté Freak show de Sorina, qui n’a pas d’yeux et de sa famille bizarroïde. Il y a Tree moitié homme, moitié arbre, Venera qui peut voler, Gill dont la tête doit rester dans l’eau pour pouvoir respirer….  tous plus bizarres les uns que les autre. Luca apparaît beaucoup plus lisse, mais son talent est de ne jamais mourir. Il gagne sa vie en proposant aux visiteurs de le tuer. Ce qui rattrape son côté beau gosse.

Pour conclure, j’ai passé un agréable moment de lecture. Les quelques longueurs et l’amourette maladroite de l’héroïne ont été rattrapés par l’ambiance et la galerie de personnages étranges.

 

D’autres avis chez : Karakin, Tanuki…

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8 réflexions sur « Daughter of the Burning City de Amanda Foody »

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